Pour que le corps plaise
Je me suis réveillé hier avant six heures ;
Le choc fut bien plus doux que je l’eusse pensé.
Le soleil m’arrosait de sa douce chaleur ;
Ses rayons paraissaient sur mes vitres danser.
Mes habits préparés m’attendaient sur ma chaise ;
J’y bondis avec joie, empressé de sortir.
La salle est à deux pas et, pour que le corps plaise,
Il faut s’y rendre un jour sur deux avec sourire.